• A mon fidèle ami...

    L'initiative appartient à 30 Millions d'amis, un site entièrement dédié à nos fidèles amis animaux, qui sont restés à nos côtés lorsqu'on était triste, en colère, désagréables. Je reprends cette initiative aujourd'hui pour vous donner la force de parler, de dédier un paragraphe, aux animaux si fidèles.

    Vous pourrez, dans les commentaires, raconter les exploits de vos animaux.

    Lorsque mes amis adorés y sont passés, bien sûr, j'ai pleuré: ça m'avait anéantie. Mais j'ai tout de même témoigné, j'ai raconté ce qui se passait.

    A mon amie Minie: Au départ je t'avais appelée Mickey car je croyais que tu étais un mâle. N'empêche qu'on est devenue très rapidement de grandes amies; tu étais une souris extraordinaire. Toute la nuit, tu faisais tourner la roue installée dans ton immense cage (même si tu n'y étais pratiquement jamais) et elle grinçait. Je dois avouer que ça empêche de dormir, mais ça me faisait sourire. La première fois que j'ai changé ta litière, et bien ! Tu m'as sauté dessus, et ma robe m'empêchait de voir où tu étais, et j'avais peur de t'écraser par mégarde. Quand j'étais triste, je venais te voir, je te caressais, et tout allait mieux. Tu es morte d'une maladie un an plus tard. Je ne cesserai de te pleurer, chère amie, mais il ne faut jamais oublier ceci: tu n'es peut-être plus de ce monde, à l'heure qu'il est, mais notre amitié durera éternellement.

    A mon ami Kangou: Tu étais le fidèle partenaire de Minie ! Ton ancienne maîtresse ne pouvait plus te garder car tu mangeais tes petits. Ah ! Mais tout seul, tu étais un ange, avec ta fourrure blanche mouchetée de marron. Tu étais vif, mais tu n'étais pas aussi nocturne que Minie. Toi, tu dormais la nuit, moins longtemps que moi, mais bon. Tu n'étais plus tout jeune, je savais qu'il ne te restait que quelque mois. Et j'ai tout fait pour que tes dernières heures s'écoulent dans un havre de paix. Dès que je pense à toi ! Je pense au calme, à la sérénité, au paradis sur Terre. Je ne peux m'en empêcher. Je ne t'oublierais jamais, fidèle ami ! Tu es mort quelques jours après Noël. Je ne cesserais jamais de t'aimer, jamais !

    A mon ami Bruno: Toi, tu étais le  chien de ma Tante. Tu étais magnifique, sage et calme. Mais à 16 ans, on a déjà vu le monde... Tu savais faire des câlins. Les gens disent que les animaux de compagnie nous appartiennent et qu'ils nous aimeront forcément. Non ! Tu aimais si tu voulais aimer. Tu étais la preuve vivante que les animaux sont sensibles, qu'ils éprouvent des émotions. Ah ! Je me souviens de la fois où tu voulais me voler ma sucette géante fait maison... Ce n'était pas très difficile, j'étais haute comme trois pommes. Je ne me lassais jamais de rester en ta compagnie, collée à toi. Je te forçais à faire de l'exercice tous les jours, pour que tu sois en bonne santé et ne meurs jamais. J'imagine que ça à un peu marché... C'est vrai, tu est parti relativement beaucoup au dessus de la moyenne. Tu me manques tellement. Dès fois, je sens ta fourrure contre ma peau. Je me souviens du bon vieux temps. Mais, ce ne sont que des rêves... Et à mon réveil, rien n'est plus pareil.


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